Beyblade Fan Fiction ❯ Le coeur solitaire ❯ Des retrouvailles ( Chapter 5 )

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–ÓvüÓw@ÓœH & Oacute;vìÓuèÓuÓ˜ Ó˜ Óu¼$Ów(Ó€,Ó&Osl ash;0Ó 4Ód6Óœˆ Salut cÕest encore moi et je dois avouer que je ne suis pas tenter ˆ lacher cette fic, mais je demande plus de commentaire svp, merci dÕavance.

Alors ils Žtaient sur le pont de partir en voyage...

Retour au bercail (le troisime film)

Ka• regardait le paysage fillŽ sous ses yeux. Il y serait dans 4 heures. Il allait tre malade. Pas malade. Il nÕavait pas le mal de lÕair comme Kenny. Qui allait les attendre ˆ lÕaŽroport ?

Tys- Super des chips!

Ray- CÕÓest vraiment long, (il rentra la tte dans son magazine).

Max-Il parle notre langue les Russes?

Ka•- Je traduirais.

Tys- A tiens, cÕest vrai, tÕes Russe.

Un groupe dÕh™tesse arriva ˆ la course vers eux.

Dames- O es le Rus... Ah! courez cÕest...

Les h™tesses sÕŽloignrent ˆ toute vitesse.

Max- Wow!

Tys- Tu leur a fait tout un effet!

Ka•- CÕest lÕhabitude!

Quand lÕavion se posa et quÕils descendirent, ils purent voir quÕil nÕy avait quÕune personne qui attendait dans lÕaŽroport. Un vieil homme aux cheveux gris et blancs les attendait.

-Salut ˆ vous, jeunes hommes! Je suis Voltaire, organisateur du plus grand tournoi auquel vous ayez jamais participer. Et le grand-pre de... Ahah!

Il saisit Ka• par lÕŽpaule. Ils remarqurent que celui-ci avait tentŽ dÕŽchappŽ ˆ cette main qui lÕavait attrapŽ avec fermetŽ.

Volt- Fripouille! La dernire fois que je lÕai vu il avait 11 ans.CÕest lÕŽmotion!

Il feignit une larme, puis repoussa Ka• vers les autres.

Volt- CÕest un honneur de vous recevoir chez moi1

Tys- Chez vous?

Volt- Vous serez bien dans le pensionnat?

Tous sauf Ka•- Oui!

Volt- Alors vous serez chez moi!

Ka•- Il a toutes les installations dont lÕŽcole, le pensionnant, les arnes et ...

Volt- Du calme laisse leur des surprises, maintenant venŽ!

Une limousine les attendaient. Il furent Žbahis, Ka• ne cadrait vraiment pas avec le luxe pourtant!

Ce fut quand ils arrivrent devant le manoir. Jamais il nÕavait vu quelque chose de plus grand que ce chateau. Ils passrent devant la grille et remarqurent les gardes.

Volt- Aver les voleurs on nÕest jamais assez prudent!

Il regarda Ka•.

Volt- Et les fugueurs!

Ils fixrent Ka• dÕun regard interloquŽ. Celui-ci commena ˆ se sentir ˆ lÕŽtroit dans la limousine, il dŽtestait tre le centre de lÕattention avec son grand-pre dans les parages. Enfin ils entrrent dans le hall. Qui pouvait imaginer quÕun enfant puisse vivre lˆ? Ce ne fut aps leur premire impression en voyant le hall.

Tys- GŽnial.

Max- O sont les ...

Volt- .. toilettes? Il y en a une trentaine par Žtage.

Tyson et Kenny ouvrirenet de grands yeux, il devait y avoir une trentaine dÕŽtage!

Volt- Allons, fils! Montre leur le placce 8964.

Ka• sursauta.

Ka•- Mais.... pourquoi?

Volt- La 9684? CÕest celle que tu prŽfres!

Ka•- Non!

Volt- Au moins tu connais le code, allez filez!

Ils suivirent donc Ka• jusquÕˆ la pice o il avait passŽ son efnance avec Tana, Spencer et Yann. Les fentres nÕavaient plus de bareaux, il y avait une table, 4 lits, 4 chaises. Seulement des plus beaux.

Ray- Mais on est 5?

Ka•- Il mÕa mit lˆ( il pointa une porte entre duex des lits)

Tys- JÕveux voir!

Le cabinet noir de punition Žtait peint en noir tout entier, le lit Žtait couvert de bleu. Il y avait des armoires dŽjˆ pleines de vtements, une photo sur un bureau et un mot.

Cher Ka•,
Je sais que se sera dur de revenir ici. Mias tu devras abandonner tes ailerons et ta ceinture durant les cours. Ta boucle dÕoreille est dans le coffre fort! Tu sais le code. Te souviens-tu? JÕespre que tu nÕas pas eu de problme en avion. Te souviens-tu? Si tu ne met pas ton smoking vendredi sa va bardŽ. Je voudrais te parler dans le petit salon et tu emmneras tes coŽquipiers dans la salle ˆ manger 68, elle nÕest pas rŽservŽe. Surtout reviens tÕentrainer dans les sous-terrains, au fait, dnas le feu, belle performances!

Voltaire Hiwatari

Ë ce soir...

Ray- Tiens tÕas un mot.

Ka•- Donne moi a!

Il lut rapidement la lettre.

Max- Qui cÕest ? ( en pointant la jeune femme sur la photo)

Ka• regarda. Pas elle!

Ka•- Une amie de mon vieux.

Tys- O sont tes parents?

Ka•- Manifestement pas dans cette pice!

Ils sortirent. Max alla enfin au petit coin!

Volt- Ka• HIWATARI!

Tyson sursauta. Ka• sortit et alla rejoignit son grand-pre dans le petit salon.

Volt- CÕest quoi a? Des analyses? TÕes ˆ 95% de ta puissance lˆ dessus!

Ka•- CÕest Tana qui te les a eu?

Volt- CÕest moi qui pose les questions!

Ka• dŽglutit.

Volt- Allons on passe aux tests. Voir si tÕes pas trop rouiller.Force!

Ka• souleva 15 fois son poids.

Volt- Rouiller!Psycho, pourquoi tu me regarde comme a?

Ka• retint un frisson de peur.

Volt- Aller match ressentit!

Dranzer lana 30 toupies hors de lÕarne. Ka• supporta comme il put les choques Žlectriques, mais poussa un gŽmissement de douleur ˆ 90 volt.

Volt- Pourri! Endurance!

Ka• reu les coups sans crier, sans tomber, au centime:

Volt- Frappe plus fort abruti!

Quand Ka• tomba, il fit arrter le tortionnaire, soit ˆ 150 coups.

Volt- CÕest vraiment mauvais!

Aprs avoir fini tout les tests Ka• Žtait en nage et son dos en sang.

Volt- TÕes pas parti trop t™t. JÕtÕarranges comme prof et tu mÕfais un pÕtit malheur.

Ka• le regarda avec froideur.

Volt- Allez les filles, lavez-le!

Ka•- Eh, attends, Voltaire!

Volt- Pas le temps!

Des jeunes femmes sÕŽtaient jetŽ sur Ka• et lÕemmenait vers la piscine souterraine.

Femmes- Allez, se sera gŽnial, tu mÕas vu un peu ses muscles, attends dÕy voir le reste, Cest mon jour de chance!

Ka• arrta de se dŽbattre pour voir au loin, ˆ cotŽ de son grand-pre, une jeune femme aux cheveux bleu p‰le. Ses yeux noirs! Ses mains! CÕŽtait elle! Celle qui lÕavait, cÕŽtait... la patronne de ces femmes qui lÕemmenait! Il poussa un cri de dŽsespoir et rŽussi ˆ se dŽgager de cette masse de profiteuses et de voyeuses. Il se jetra tout entier dans la fontaine de la cour arrire pour Žchapper ˆ la sŽance de lavage cauchemardesque quÕil sÕapprtait ˆ revivre. LÕeau froide coula sur ses plaies telle un beaume sur ses blessures, il repŽra le morceau de lierre qui poussait jusquÕˆ sa fentre, il grimperait ˆ sa chambre dans 2 minutes. Les jeunes filles du bloc central sÕapprochrent. Il les remarqua quand elles lÕeurent encerclŽes. Il Žtait trempŽ de la tte au pieds, entourŽ par les camarades de pauses de Spencer, Yann et Tana.

-Des obsŽdŽes, avait dit Tana. Toutes les mmes!

Ka• les regarda dÕun oeil mauvais de dedans sa fontaine.

Demoiselles-Regardes, est-ce que cÕest un ange? Non, idiote cÕest le petit fils du patron! Alors cÕest lui le briseur de coeur, cÕest sžr il a pas de coeur! En tout cas un autre truc est sžr il est beau comme un coeur! Eh, toi quÕest-ce que tu fais lˆ?

Ka•- Je statu.

Demoiselles- Il statu?

Ka•- Je statu votre statu dans notre sociŽtŽ Beyblade.

Demoiselles- A oui, et quels sont les plans pour moi? Et moi?

Ka•- Je sais que votre avenir nÕai pas brillant! Vous serez pÕtre remplacez! JÕen connais 4 bien meilleure que vous!

Demoiselles- Quoi?

Elles foncrent vers leur quartier sÕentrainer.

Ka•- Ha( un sourire mauvais apparut dans son visage) mais il grimaa de douleur en se hisant jusquÕˆ sa fentre. Il attrapa des bandages et sÕen envellopa le dos.

DŽcidŽment son grand-pre avait pensŽ ˆ tout, il savait quÕil allait se blesser car il avait laisser des bandages. Il enfila sa camisole, ajusta ses ailerons et se mirant dans le miroir, a ca, rien ne parais...

Tys- Quand est-ce quÕon mange?

Ka• sortit de sa chambre.

Ray- Commen as-tu fait pour revenir sans quÕon te voit?

Ka•- Suiver moi si vous voulez manger!

Max- Tu pourrais rŽpondre!

Ka•- LÕhabitude.

Quand ils furent arriver dans la salle ˆ manger ils purent se rŽgaler des meilleurs plats mais purent aussi remarquer quÕil y avait 5 places de vides devant eux. CÕest alors quÕarrivrent Yann et Spencer qui sÕassirent devant Max et Ray. Tana fit aussi son apparition, adressa un sourire peinŽ ˆ Ka• et sÕassit devant Tyson.

Tys- QuÕest-ce que vous faites lˆ?

Tana- On a ŽtŽ invitŽ nous aussi tu sauras!

Voltaire entra alors et sÕassit face ˆ Kenny, ˆ cotŽ de Tana. Il restait une place de libre devant Ka•. Une jeune femme, avec des cheveux bleu p‰le qui entourait un visage doux et moqueur, entra dÕun pas vif. Elle Žtait vtu dÕune robe longue argentŽe sans manche, mais ˆ courte bretelle, qui dŽvoilait presque entirement ses courbe fŽminines par son dŽcoletŽ et son incroyable moulance!

Volt- Je vous prŽsentes lÕune de mes filles Anastasia!

Il parlait dÕelle comme sÕil sÕagissait dÕune oeuvre dÕart et non comme un pre parle de son enfant. La dame tandis une main vers Ka• et celui-ci ce contenta de croiser les bras et de lui lancer un regard aussi froid quÕil pouvait tre. Anastasia caressa les cheveux du jeune homme en lui adressant un regard emplit de solicitude. Ka• se dŽgagea en faisant de son mieux pour garder son calme.

Anas- Pardonnez moi, pre, cela fait trs longtemps que je nÕai pas vu mon neveu.

Elle sÕassit face ˆ Ka• au grand regret de celui-ci. Le d”ner fut silencieux et quand ils eurent fini les autres ( soit Yann, Spencer et Tana) furent heureux de se lever.

Anas- Je vais vous faire visiter.

Tana- On va y aller.

Anas- Nous sommes tous de la mme famille, allons vener.NÕest-ce pas mes enfants?

Elle sÕadressait ˆ Yann et Spencer qui se regardrent interdit. Manifestement leur rapport maternel avec cette femme leur Žtait inconnu jusquÕˆ ce jour.

Anas- Eh, vous cÕest bien parce que vous tes des frres que vous vous entendez comme chien et chat.

Ka•et Tana se regardrent, intŽrieurement bouleversŽs. QuÕest-ce que cÕŽtait que cette histoire?

Anas- Ah,jÕai failli oublier que vous ne le saviez pas( en chuchotant aux principaux intŽressŽs).

Ka•- Tu devrais leur montrer les trainerstages pour commencer.

Anas- Bonne idŽe, mon petit!

Du coups, Ka• grogna , suivit par les raclements des gorges de Yann et Spencer, bient™t Tana fit craquer ses doigts et ils prirent tous, parfaitement synchrones, un air mauvais.

Anas- Commenons par cette Žtage.

Sa voix nÕŽtait plus aussi assurŽe, elle Žtait seule avec 9 jeunes hommes, bien quÕelle en connaisse 4, ce nÕŽtait pas une situation idŽale. 9 jeunes hommes de 14 ans.

Ils que le ch‰teau Žtait composŽ de chambres, de salles dÕanalyses, de stade,de salle dÕentrainement tous plus grand et plus luxueux les uns que les autres.

De retour dans leur chambre.

Ken- CÕest incroyable, ce complexe semble tre fait pour recevoir des centaines de Beybladeurs. Tu en as eu de la chance de vivre ici!

Le regard glacŽ de Ka• le dissuada de formuler ˆ nouveau une telle hypothse.

Tys- Un truc est sžr, vous avez de vachement bons cuisiniers!

Ray- CÕest vrai! Et on est dr™lement bien ici!

Max Žtait assis sur le bords dÕune fentre et regardait les alentours.

Max- Pourquoi tu nous a jamais dit que tÕavais un frre?

Un coups de poing sur la porte les fit tous sursauter. Ka• alla ouvrir, cÕŽtait Tana.

Ka•- QuÕest-ce qui y Õa ?

Tana- Enfin te voilˆ, viens vite par lˆ, cÕest Voltaire, il va...

Ka• lÕattrapa par le collet et se prŽcipita ˆ lÕextŽrieur. Il fona prestement au bureau de son grand-pre. Le vieil homme semblait dormir devant son ordinateur, Ka• resta dans lÕentrŽe de la pice, il avait laissŽ Tana dans les escaliers. Voltaire ouvrit les yeux.

Volt- Tu as fait preuve dÕun manque de politesse incroyable! Tu es censŽ tre un jeune homme de la haute sociŽtŽ et bien ŽlevŽ!

Ka•- Comment voulez-vous que je sois bien Žlever si vous ne mÕavez mme pas Žlever?

Il sÕen voulut presque aussit™t. Car il entendit des bruits de pas approcher. Deux mains ˆ la poigne de fer ensserrent ses Žpaules. Anastasia qui jusque lˆ Žtait restŽ dans lÕombre passa son visage par-dessus lÕ Žpaule du jeune homme.

Anas- Ne parle jamias ˆ ton grand-pre de la sorte!

Volt- Il ne faut jamais dire jamais ma fille.

Ka•- Pourquoi vous ne mÕavez jamais rien dit?

Volt- JÕignorais que tu avais oublier cela Žgalement.

Ka•- Si, vous le saviez parfaitement!

Les mains serrrent ses Žpaules plus fort. Ka• grimaa en sentant les ongles de la jeune femme sÕenfoncer dans son dos.

Volt- La semaine prochaine, sois-tu tÕhabille dŽcemment pour notre invitŽe, sois ta tante le fera pour toi.

Ka• comprit ce que cela voulait dire, encore ses mains qui ferait ce quÕelles voudraient de lui.

Ka•- Lachez moi!

Anas- Ma soeur avait un caractre similaire au tiens.

Ka• se dŽgagea et e tourna vers elle. Il avait ˆ peine 15 ans, mais il dŽpassait la jeune femme dÕune tte.

Anas- En faut, ta mre Žtait en tout point sensible ˆ toi.

Ka•- ƒtait?

Anas- Elle lÕŽtait jusquÕˆ ce que... (sa voix se brisa et la femme se dŽtourna)

Ka” se sentit soudain incetain, cette femme devant lui Žtait sa tante, elle avait connue sa mre et celle-ci, enfin, il ignorait tout de ses parents et il semblait quÕil allait enfin en savoir quelque chose!

Ka•- JusquÕˆ ce que quoi?

Anastasia lui fit non de la tte. Il se tourna vers son grand-pre, nÕespŽrant pas une grande aide de sa part.


Volt- Allez va dormir!

Ka•- Quoi?

LÕŽnervement et le choc Žtait trop grand. Vas dormir? Franchement ! Comment sa, va dormir! Il se tourna ˆ nouveau vers Anastasia, puis lanant un regard de biais au vieillard.

Volt- Va dormir!

Ka•- Ah, oui cÕest sa!

Volt- Va dormir !

Ka•- Bien sžr

Il sortit et monta les marches quatre ˆ quatre tandis que le son dÕune porte claquer se rŽpercutait dans tout le ch‰teau.

Tana- Alors quÕest-ce qui tÕvoulait?

Ka• le fixa pensivement. Ce pouvait tÕil que ce gars soit son frre ? Il abolissait cette idŽe quÕil ne le dŽteste pas totalement et que sa prŽsence lui soit mme familire.

Ka•- Est-ce que tu crois ce qu,elle raconte?

Tana- CÕest possible et toi?

Ka”- Sa dŽpend de quel cotŽ on prend la situation.

Tana- Alors, quÕest-ce qui tÕvoulait?

Ka•- MÕgueuler!

Tana- ‚a devrait quand mme bien aller! (il lui donna une claque dÕencouragement dans le dos)

Ka• attrapa sa main et la broya entre ses doigts.

Ka•- Pas toucher!

Tana- Ah la la la la! (il serra sa main contre lui, pliant les doigts) jÕai compris il tÕ fait passer les tests.

Ka•- Ne mÕen parle pas!

Il posa une maiin sur lÕŽpaule de Tana pour quÕil le suive, mais Tana eu tot fait de le tasser sur le cotŽ.

Ka•- Toi aussi tu as eu droit au test...

Tana- Ne mÕen parle pas!

Ka• sourit, finalement, ce nÕŽtait pas si fou quÕils soient frres.ZÿÿNò DSET‚ÿÿ.H ÿÿÿÿÿÿÓvð ò¦Eà@| òÿÿ6ÿÿ* Eà@DSET
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