Beyblade Fan Fiction ❯ Le coeur solitaire ❯ You-know-what ( Chapter 7 )

[ P - Pre-Teen ]
!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!CWWPBOBO 6᣺º¼VR¸¼{*é mBIN‚…­BOBO­ÉU< d999999ß+ÉTx
ÿÿX±
ÉT|
Ÿ
ÿÿÉUÿÿÿ -Zÿÿÿ Collge Saint-MauriceŽfÿÿBLOM! `° ÿÿÿxHHLÿ& ocirc;ÿô XG(üHHØ(d '` ÿÿ É°@† l+À/ÀhÝ *ÉT„ɵô< br />
ɵÌÝh É´°ÈvÔ  ÉTŒ4´ÿÿÿÿÿÿ&yu ml;ÿZ
FDSETÚ9€Ï9#=ÉTh&E acute;TpÉTlɶHò¦-&poun d;éò¦-£ ò¦-£ò¦ -£)mò¦-£ 4+ò¦-£=(ò¦ -£ESò¦-£ Nëò¦-£Uÿò&br vbar;-£ ]9ò¦-£
hò¦-£ qtò&b rvbar;ɵ´-£ zò¦ ÉT€³
è„…‰





c
d


5
6
p
q
™



'
(


$
%

0

1



ž

D
E
u
v



`
a









›
u
v


%
&



†
‡




Á
Â


$
$


%_
&a
&b


)
)



-¤ -¨
.W
.X .\
.]
0)
0*
2n
2o
3
3
3†
3‡
4€
4
5Q
5R
5f
5g

5›


6C
6D
6g
6h




:T
:U
;
;
;
;‚
=0
=1

=›


>
>
>T
>U


A
A
Al
Am
B
B
Bo
Bp
B‡





D
D

E”
E•
F(
F)


G#
G$
G_
G`
HQ
HR
Hw
Hx


IH
II
K‹

M+
M,


O
O
O`
Oa
O„
O…







R]
R^


S
S
S
S
Sy
Sz


T"
T#
T
T‚
U
U
UY
UZ
V\
V]

V
W
W
W
W
W\
W]



Wÿ
XN
XO
Xs
Xt


Y
Y


Y„
Y’
Y“
ZI
ZJ
[G
[H

]
`

`


c‰

db
dc


e*
e+
e^
e_
f
f


k?
k@
m]
m^
nZ
o`
oa
p7
p8
pW
pX
p–
p—
q
q
q(
q)
q;
q`
qs
qt




r+
r,

r‰
sM
sN
sq
sr
t
t‘






w…
w†
y~
y


{}
{~

}‰





žŸ€ÿ`
 

-£

-¤
-¨

.X
.\

ž
 ^ÉTd6ÉT`ÓpÉT\< br /> C£ÉTX
æÇÉTT­ÞÉTP‹ì&Eac ute;TLwõÉTHlúÉTD!füÉT @%bþÉT<)`ÿÉT8-_ÉT41_&E acute;T05_ÉT,9_ÉT(=_ÉT$@àA&E acute;T D!KÇ‚¤Gl{Ç‚¬Jç¨Ç‚&um l;NÊÇ‚ RYßÇ‚œV8íÇ ‚˜Z%õÇ‚”^úÇ‚býÇ‚Œ fþÇ‚ˆjÿÇ‚„nÀÇ‚€q&Ici rc; ɶ\unuɶXxãɶ ;T|ãɶP~äVɶLCÕeat la conclusion de cette fic que jÕadore et que jÕaurais voulu faire plus longue. J ene parlerais pas plus , ˆ vous la suite...

Heureusement il ne croisa plus personne dÕautre e tpu se laisser tomber dans son lit, Ò Dans le centre de recherche une machine Žgrenait ses donnŽes aussi inlassablement quÕau dŽpart: Perte de conscience du sujet prŽvu dans 5...4... 3... 2...1..., maintenantÓ
Ka• sÕendormit sans ce rendre comte de ce qui se passait ˆ prŽsent autour de lui ni de la pierre qui ricochait sur sa fentre.

Il se rŽveilla en sursaut tout ses membres plein de courbature tout son corps tendu comme sÕil Žtait encore sous lÕinfluence de la diabolique machine de son grand-pre.

Une petite roche ricochait sur sa fentre, il comprit alors que cÕŽtait elle qui lÕavait rŽveiller. Il avait enlever ses ailerons avant de sÕendormir et vu le poid quÕils avaient avant quÕil ne sombre dans le sommeil, il nÕavait aucun6e envie de les mettre ˆ nouveau. Il aperut le cadre qui reprŽsentait Anastasia. Quel sentiment Žtrange! Il nÕy avait pas plus de 2 jours cette femme Žtait une totale Žtrangre, depuis quelques jours cÕŽtait sa tante et depuis ˆ peine quelques heures sa mre.

Il finit par jeter un coup dÕoeil vers sa fentre pour apercevoir Kia qui lui faisait signe de venir la rejoindre dans sa chambre. Il nÕeut mme pas une minute dÕhŽsitation et rejoint tout de suite la jeune fille en voyant lÕexpression de son visage. Quand il entra dans la pice qui avait habritŽ la jeune fille durant presque toute sa vie il se sentit submerger par la nostalgie. Il avait passer tout ses week-ends dans cette endroit avec Kia.

Celle- ci Žtait vtu pour le moins lŽgrement avec sa jupe longue qui volait au moindre coup de vent en dŽvoilpant ses cuisses et sa chemise ˆ demi ouverte qui dŽcouvrait le reste.

Ka•- QuÕest-ce quÕil y a ?

Sa voix Žtait plutot fatiguŽ, un peu trop au gout de Ka•.

Kia- TÕas un gros problme, hen? Avous!

Ka•- Avouer quoi?

Kia- Avouer tout ce que tu as sur le coeur, si jÕose mÕexprimer ainsi, mais avant regarde bien ce que jÕai a te montrer!

Elle avait allumer une tŽlŽvision dans un coin de la pice et lÕavait plantŽ sur la scne dÕun film durant la quelle des orphelins se racontaient les souvenirs quÕils avaient de leur parents.

Kia-Des souvenirs que tu nÕauras jamais semble tÕil, non?

Ka• serra les poings mais, nÕeu pas dÔautre rŽaction, cÕŽtait mieux ainsi, il lui faufdrait tout son sang froid pour supporter ce quÕelle allait encore lui montrer. La seconde image du tŽlŽviseur Žtait un enfant dont les deux parents Žtaient en train de sÕoccuper.

Kia- Des parents q£ue tu nÔauras jamais, qui ne se sont jamais occupŽ de toi et dont tu nÕas aucun souvenir.

Sur ce point elle se trompait car Ka•, ˆ lÕinstant mme ou elle prononait ses quelques mots, avait vu une image refluer en en lui. Sa mre, lui et sa mre. Il pleurait et sa mre criait. Il tenta de chasser ce tableau de son esprit. ll ne voulait pas sÕen souvenir. Il sentait que sÕil rŽentendait ce quÕelle lui disait son tre entier rŽagirais trs, trs mal.
Il ne voulait pas se souvenir de ce quÕelle lui avait dit.

Pendant ce temps, la tŽlŽ continuait de montrer des familles soudŽes qui semblaient trs heureuse, Ka• sÕaccrocha ˆ ses images pour ravaler le souvenir qui montait en lui et menaait lÕengloutir. Il devait oublier, mais les images ne lÕaideraient pas, tout ce quÕelles faisaient cÕŽtait lui montrer ce quÕil nÕavait pas, ce quÕil nÕavait jamais eu et ce quÕil nÕaurait jamais. Kia continuait sa tirade, bien que cela Çlui soit totalement inutile, le jeune homme Žtait compltement submergŽ, il nÕentendait rien, mais il perut une phrase, une seule, la pire...

Kia- Et tout a, cÕest de ta faute, parce que tu nÕas pas de coeur!

Tandis que la phrase faisait son bout de chemin dans son esprit, il perdit tout contr™le sur son souvenir et sur son tre. Sa main droite se crispa sur son Žpaule gauche comme si une douleur insupportable le transperait de aprt et dÕautre dÕun coups. Son bras sÕenfonait dans son torse cherchant les battements de son coeur qui restaient imperceptibles. Sa respiration sÕaccŽlŽra, il baissa la tte pour ne plus voir ses familles nager dans le bonheur et cette fille qui se prŽtendait amoureuse de lui. Il ferma les yeux pour perdre de vue Anastasia qui rentrait dans la pice o il se trouvait il y avait 11 ans. La vision, au lieu de dispra”tre, sÕintensifia, les contours qui jusque lˆ Žtaient flous se prŽcisrent. Il ne pourrait plus la soutenir, Þmas il ne devait pas voir. Il ne fallait pas quÕil lÕentende...
Anastasia entra pour voir Ka• sourire ˆ son approche. LÕenfant de 3 ans comptait demander ˆ sa mre o Žtaient passer ses frres durant les dermiers jours. En voyant la manire dont elle le regardait son sourire dŽserta son visage. Il nÕaviat jamias vu sa mre le regarder avec des yeux emplient dÕune telle haine. Elle sÕavanait vers luii dÕun pas mŽcanique et dŽcidŽ.

-Maman??( une pointe dÕinquiŽtude sonnait dans la voix du petit garon)

-Je te dŽteste! (La voix de sa mre Žtait dure, froide, sec et tranchante, mais si froide et haineuse, si froide, non pas froide, glaciale!) Tu ne me sers ˆ rien et je ne comprendrais jamais comment jÕai pu mÕimaginer quÕun jou, je pourrais tÕaimer! Tu as gachŽ ma vie, je te dŽteste!

Ele le dominait de toute sa grandeur dÕadulte, de toute sa haine et de toute sa froideur qui la rendiat inhumaine( ce froid qui pŽnŽtrait en Ka•, qui sÕinsinuait dans son petit coeur ˆ chaque motì quÕelle ajoutait, quÕelle lanait souvagement sur lui telle des armes).

-Maman?( la peur Žtait dominante dans sa voix)

-Je ne suis pas ta mre, comment as-tu pu tÕimaginer quÕune jeune fille de 18 ans telle que moi pourrait tre ta mre? Tu nÕas jamais eu de mre ou de pre. Je tÕai pris avec moi par pure pitiŽ. Tu nÕes quÕun monstre un sal petit monstre qui ressemble ˆ un petit garon! Mais personne ne pourra jamais aimer un tre tel que toi. Et puis dÕailleurs qui pourrait apprŽcier un tre qui nÕaime pas en retour?

Les yeux du petit Ka• sÕemburent de larmes, son coeur cherhcait rempart ou sÕaccrocher, bouŽ de sauvetage o se rattraper pour ne pas sombrer dans cette ocŽan de peine qui avait fini par lÕentourer. QuÕavait-il fait?

-Mais, mam...( sa voix fut stopper net)

-Ne mÕappelle pas comme a! Tu as voulu le mal qui tÕarrive. CÕest de ta faute si ma vie est gachŽ. Quant ˆ la tienne, elle a ŽtŽ gachŽe le jour o tu es venu au monde! Tu nÕes que quantitŽ nŽgligeable, jamais personõne ne sÕoccupera de toi sinon ils en paieront les frais comme moi. Tout les gens qui te croiseront ne ressentiront pour toi que de la haine ou de la pitiŽ. Tu es dŽtestable.

Il secouait la tte, les larmes roulant sur ses joues, refusant dÕaccepter ce quÕelle lui disait tandis quÕelle rŽduisait toute lÕexistance de lÕenfant ˆ nŽant. Tandis quÕelle rŽduisait lÕexistance de Ka• ˆ nŽant.

-JÕai fait lÕerreur de ma vie en te prenant chez moi. Je ne te rŽpetterais jamais assez que je te dŽteste. Tu ne feras jamais rien de bon pour quiconque dans ta vie. Tu ne pourras jamais rachetŽ les fautes que tu as commises envers moi.
Le petit garon reculait vers la porte, effrayŽ par cette personne qui avait ŽtŽ sa mre et qui lÕaffublait de tout les dŽfauts de lÕhumanitŽ et mme plus.

-Va tÕen et ne reviens pas! Je tÕexcecre, je te dŽteste, je te hais! Va tÕen, laisse moi en paix, tu nÕas pas dŽjˆ fait assez de mal? Pars! Monstre!

Le petit hŽsita et nÕaperut que trop tard la lame qui se planta dans son Žpaulúe gauche. Il sortit foudroyŽ par la douleur et la peine. Il ne comprenait pas toujours pas ce quÕil avait fait, mais une chose Žtait claire dans sa tte alors quÕil essuyait ses larmes: cÕŽtait de sa faute tout ce qui lui arrivait! CÕŽtait de sa faute, sa faute uniquement ˆ cause de lui. CÕŽtait sa faute!

Ka• ouvrit les yeux aussi vite quÕil le put mais il Žtait trop tard, il nÕavait pas fallu plus dÕune fraction de seconde pour quÕil revoit tout. Il voulait oublier ce secret si lourd une autre fois, il nÕavait jamais demander ˆ se rappeler. Pourquoi lui avait tÕon fait a? Une phrase remonta ˆ son esprit: cÕest ma faute, cÕest ma faute. La culpabilitŽ! Mais il nÕavait rien fait! Il sentit quelque chose au coin de ses paupires, des larmes! Non il nÕallait pas pleurer, pas encore! Il cligna des yeux et eu beau secouer la tte rien nÕy fit.

Un sentiment dÕabandon le submergeait quand il sentit la main de Kia retirŽ celle qui Žtait toujours crispŽ sur son Žpaule. Quand les doigts de la jeune fille effleüurrent son torse, Ka• le sentit qui battait ˆ toute vitesse, son coeur! Il se rendit compte que la jeune fille Žtait agitŽ dÕun lŽger tremblement quÕelle tentait de contenir. Il sÕapperut que lui mme tremblait. Il tremblait de tout ce froid quÕil avait reu ˆ la naissance, cÕŽtait sa faute ce qui lui arrivait... NON! Il nÕŽtait pas responsable de tout les malheurs de la terre!

Il rŽussit a contr™ler son tremblement et ˆ lÕarrter. Il releva la tte , lentement pour ne pas intensifier le bourdonnement qui lui vrillait les tympans. Il cherchait son souffle mais maintenant il pouvait la voir, Kia, cette fille indŽchiffrable qui avait rŽussi ˆ le mettre dans cet Žtat. MalgrŽ les larmes qui lui brouillaient la vue et les gouttes de sueur qui lui brulait la rŽtine il la fixait droit dans les yeux.

Ka• QuÕest-ce que tu en sais?

Sa voix Žtait brisŽe, elle sonnait Žtranfement venu de la part de Ka•, mais sa voix nÕŽtait quÕun des morceaux cassŽs, son tre tout entier Žtait brisŽ, il avait toujours vŽcu
aveþc une volontŽ, un coeur et un esprit brisŽ, mias il l,avait cachŽ. Si bien cach. quÕil see lÕŽtait cachŽ ˆ lui-mme. Et elle, elle Žtait venu rŽveiller sa blessure et tourner le couteau dans la plaie comme on dit, elle lÕavait fait se rŽvŽler ˆ lui-mme.

Kia elle nÕen menait pas large, elle avait voulu montrer ˆ Ka• ce quÕelle savait faire pour qu Ôil cesse de lui faire de la peine. Elle avait voulu se venger et manifestement elle avait fait mouche. Quelque chose en elle lui faisait mal, trs mal de le voir dans cet imposture. Il semblait dŽmuni sans ses ailerons, ses Žpaules affaisŽes, une main ˆ nouveau crispŽ sur lÕune de ses Žpaules justement, les marques bleus sur ses joues ˆ demi effacer par ses larmes et sa sueur. Une terrible culpabilitŽ lÕenvahissait et non sans fondement. Elle baissa les yeux, incapable de le voir dans lÕŽtat dans lequel elle lÕavait mis plus longtemps.

Kia- Excuse moi, je nÕai ... pas rŽflŽchi, Je...

Ka• de son cotŽ se sentait trs insignifiant et se demandait pourquoi il sÕaÿttendrissait encore en la voyant si dŽsolŽe et triste alors quÕil nÕaurait du lui en vouloir pour ce quÕelle lui avait fait. Mais aprs tout ce nÕŽtait pas sa faute non, elle nÕavait pas rŽflŽchi, elle ne voulait pas faire autant de mal, non?Et alors, elle n,avait reculŽ devant rien pour le pousser dans ses derniers retranchemants, ne lui laissant aucun rŽpit, non? Ka• se demanda si cÕŽtait a aimer, tre avec une personne qui puisses vous faire pleurer et rire et pouvoir lui pardonner pour ce quÕelle vous a fait aprs... Peu importe, Ka• ne lui pardonnerais pas tout de suite , elle lÕavait blesser trop profondŽment. MalgrŽ tout il ne pouvait sÕempcher de la trouver attendrissante avec ses petits sanglots quÕelle essayait de retenir qui lui restait coincŽ dans la gorge et il se sentait mal de la voir aussi chamboulŽ ˆ cause de lui. CÕest la faiblesse sans doute songea tÕil. Il fit un pas vers elle.

Elle poussa un petit cri et disparu derri;re une porte, sa jupe virevoltant derrire elle. Ka• se stoppa net, mme sÕil lÕavait voulu, il nÕaurait pas pu faire un pas de plus.

***
Ò Rechute du sujet prŽvu maintenant, les effets vont ˆ nouveau se manifester.Ó La machine de Voltaire continuait de disserter sur les effets du traitement que Ka• avait subi.

***

Quand Kia sortit de la salle de bain vetue dÕun pantalon et dÕune camisole noirs Ka• ressentais les mmes souffrances que lorsque son grand-pre lÕavait testŽ en endurance. Elle sÕapprocha de lui avec lenteur refusant de le brusquer. Ka• recula pour sÕappuyer sur le mur ŽbranlŽ par la douleur qui lÕhabitait ˆ nouveau. Quand il sentit le soufle de la jeune fille sur son cou, il souhaita de tout coeur pouvoir reculer encore, mais il Žtait dans une impasse.

Kia caressa ses joues, retirant ce qui restait de bleu dessus, la douceur et la tendresse qui emprgnait ce geste firent frissoner Ka• dÕun frisson qui ne lÕavait jamais parcouru auparavant. Il aurait tout donner pour que cet instant dure ˆ tout jamais, pour que chaque fois que les mains de Kia lÕeffeurent, ce soit avec cette tendresse. Il retint la mian sut sa joue alors que la jeune fille s,apprttait ˆ la retirer. Il ne voulait surtout pas lire la pitiŽ quÕil y aurait dans les yeux de Kia alors il garda les siens boen fermŽ, pour bien graver cet instant dans sa mŽmoire.

Il la sentit fondre en sanglot et se jeter dans ses bras. Il tenta de ne pas sÕeffondrer, de ne pas lui montrer toute la faiblesse qui lÕhabitait. Il en avait assez montrer.

Kia- Ka•, je suis dŽsolŽe, je nÕai pas penser que..., je ne voulais te faire si, oh Ka•, pardonne moi.

Il glissa sur le mur, gardant Kia dans ses bras tandis que la douleur courait partout dans son corps. 5 minutes, il nÕavait aps fallu plus de 5 minutes pour que la souffrance se rŽveille ˆ son tour. 5 minutes de rŽpit qui a prŽsent Žtait terminer.

Il sÕŽtala de tout son long ˆ terre, ouvrit les yeux pour voir ceux de la jeune fille( qui lÕencombraut de son poid) des yeux pleins dÕinquiŽtudes. Il ne put sÕempcher de pousser un soupir de dŽcouragement.

Ka• Arrte moi a.

Kia- Quoi? QuÕest-ce que tu as ? Je tÕai fait mal?

Ka• sÕapprta a offrir une rŽponse nŽgative puis se ravisa.

Ka•- Oui,... (il attrapa la main de la jeune fille et la posa sur son coeur qui battait la chamade)... lˆ.

Kia- Oh Ka• excuse moi, par pitiŽ!

Ka• se sentit encore plus mal quand il la vit fondre en larme, les siennes avait dŽsertŽs son visage qui Žtait tordu par la douleur. Il tenta de dire quelque chose mais rien ne sortit. La position dans laquelle il se trouvait le mettait dr™lement mal ˆ lÕaise tout en le rŽconfortant de la sentir si prt de lui et si compatissante. Il se serait bien relevŽ pour ne pas laissŽ croire quÕil souffrait encore mais cÕŽtait faut aprs tout et de toute manire, Kia se prŽoccupait bien peu de son Žtat comparŽ ˆ la peine quÕelle laissait sÕŽchapper dÕelle. Elle enfouit son visage au creux de son cou. Ka• fut secouer dÕun long frisson, dÕun frisson sÕen fin qui le secouait de la tte au piedLÕintimitŽ qui cÕŽtait installŽ entre eux eu tot fait de rŽvŽler ˆ Kia que le jeune homme tremblait comme une feuille morte. Elle posa une amin glacŽe sur son front brualnt.

Kia- Tu es bouillant de fivre!

Bouillant? Le terme Žtait mal choisi, Ka• avait terriblement froid, mais bien un des symptome de la fivre.

ÒSymptomes et effets secondaire vont ˆ prŽsent se manifester sur le sujetÓ La machine psamoldiait imlassablement les rŽpercution ˆ long terme du traitement exercer sur Ka•.

Celui-ci tomba Žvanouit pour peut-tre ne plus jamais ce rŽveiller au grand dŽsespoir de Kia qui songea que cÕŽtait sa faute.

Le lendemain Ka• sÕŽveilla entourer de lumire dans des couvertures chaudes, il y avait des gens qui criaient autour de lui, il se recoquevilla sur lui-mme comme il le faisait quand il Žtait jeune mais ne put faire un mouvement de plus, il Žtait attachŽ sous les couvertures. Ses mains qui Žtaient libre purent le libŽrer sans problme mais lui faire remarquer que sa camisole avait disparu. Muadit mŽdecin, songea-tÕil, rageur.

Il nÕavait pas tord, mais selon le ton des voix il ferait mieux de restŽ endormi encore quelque minutes.

Volt- Comment avez vous pu osez faire de tels teste sans mon accord?

Doc- Nous avions lÕaccord de la tutrice lŽgale du patient.

Volt- La tutrice lŽgale? Il nÕa pas de tutrice lŽgale!

Doc- Pourtant sa mre biologique, votre fille (la voix fŽmŽnine avait insistŽ sur le votre fille pour signifier quÕelle lÕavait surement trouver des plus dŽsagrŽable tout comme son pre lÕŽtait) nous a donnŽ la permission de pratiquer nos tests, il semblerait que nous ne soyons pas premier ˆ faire des expŽriences sur votre petit fils.

Brusquement Voltaire sembla beaucoup moins sur de lui, craignant comme la peste que les mŽdecins est upu retracŽs la cause du mal de Ka•. Celui -ci se sentit plus mal ˆ lÕaise que tout a lÕheure, si on dŽcouvrait le genre dÕexpŽrience quÕon avait pratiquer et exercer sur lui, ˆ titre purement expŽrimental, il rAisquait de ce retrouver ˆ nouveau sur une table dÕopŽration.

Ray- DŽsoler de vous interrompre, mais pourrais tÕon savoir ce qui se passe?

Les membres des BladeBrakers sans leur chef dÕŽquipe qui les guidait dans lÕabbaye et nÕŽtait plus lˆ pour lÔinstant et ils sentait pour le moins perdu.

Volt- Ka• est subitement tombŽ malade et ils lÕont trouvŽ Žtendu dnas une allŽ de lÕabbaye, Žvanoui...

Tys- Il Žtait Žvanoui?

Selon son ton dramatique il semblait totalement incroyable quÕon ai pu retrouver Ka• Žvanoui.

DÕailleurs le principal interessŽ enrageait de penser quÕil avait pu sÕŽvanouir mais aurais tout donner pour voir le visage que Voltaire fesait, ˆ en juger sur son ton il Žtait loin de se sentir aussi audacieux et fier quÕa son habitude.

Ray- Et on peut savoir ce que vous avez dŽcouvert?

Doc- Oui, bien sžr, vouKs tes dans son Žquipe non? Vous devez tous bien vous connaitre! Notre patient a subi un traumatisme grave quand il Žtait jeune, nous avons situŽ cet Žvenement ˆ lÕ‰ge de ses 3 ans. Il fait toujours des cauchemars sur les souvenirs qui lui en reste, des souvenirs qui semblent particulirement douloureux, vut la manire dont il y rŽagis quand il fait ses mauvais rves.

Tys- DÕaccord cÕest trs joli tout a mais en quoi est-ce que a a rapport avec ce que nous voulons savoir? Pourquoi est-il tombŽ dans les pommes?

Doc- JÕy arrivais, votre chef dÕŽquipe semblerait avoir subi une sorte dÕextraction lors de ses 4 ans pour Žviter quÕil est accs ˆ sa mŽmoire.

Ce coups-ci Ka• serra les poings, cÕŽtait donc a! LÕopŽraton, lÕaccident qui lÕavait rendu amnŽsique!

Max- Quoi, mais qui peut tre assez malade pour faire a ?

Doc- CÕest c{e que je dois tenter de savoir et jÕesprais obtenir la partacipation de son grand-pre, mais il semblerait que jÕai dŽcouvert le grave secret de la famille Hiwatari, le pot au fleur, la bte noire, une sale histoire de famille.

Tys- GŽnial ! JÕadore les histoires!

Vu le regard noir que les autres lui lanrent il arrter de sautiller comme un enfant.

Volt- Vous exagŽrez madame, vous nÕaviez pas besoin de liui passez un scanner, vous nÕavez pas lu son dossier mŽdical?

Doc- Oui, jÕai eu cette chance, jÕai pu voir que votre cher petit fils est atteint dÕamnŽsie infantile suite a un accident dÕavion. JÕai fait mes recherches et jÕai pu savoir que la seule fois o mon patient est montŽ dans un avion cÕŽtait la premire fois pour lui a ses 8 ans et personnelement jÕai vŽrifier et ce voyage quÕil a fait nÕa pas fini par un crach comme vous tenez tant ˆ le faire croire! JÕaimerais ¨aussi vous faire remarquer que le dos de mon patient est striŽ de cicatrice provoquŽ par des coups rŽpŽtŽs ˆ lÕaide dÕun objet long et dans certains cas, acŽrŽs...

Ka• qui nÕen pouvait plus se leva de son lit pour constater avec joie quÕil nÕavait pas perdu son pantalon mais uniquement sa camisole comme il sÕen doutait au dŽpart, son torse Žtait toujours envellopŽ de bandelettes de tissus quÕil avait prit pour se panser aprs les tests quÕil avait du essuyer ds son retour. Il adressa un ragard mŽprisant ˆ la doctoresse qui cÕŽtait occupŽ de lui et de le scanner ˆ loisir.

Doc- Bien, je vais pouvoir vous faire remarquer que le jeune homme porte des marques de cicatrice pour le moins anormale dans le dos. Et quÕil prote des bandages signe de blessures rŽcentes!

Sa main de rapace fondait sur Ka• pour retirer les morceau de tissus qui lÔenvellopais. Le jeune homme qui nÕavait aucune envie de jouer passa ˆ deux doigts de ce Êfaire attraper par la jeune femme. Il lÕŽvita de justesse et prti sa camisole quÕil enfilla comme si de rien nÕŽtait.

Volt- Vous voyez bien quÕil est en pleine forme, a tombe bien, jÕai de la viste ce soir!

Max- Je ne comprend plus rien moi.

Tys-Moi non plus! Pouvez vous rŽexpliquer.


Doc-Quand il Žtait jeune mon patient a subi un grave traumatisme, il Žtait perturbŽ par ses souvenir et quelquÕun cÕest occupŽ de lÕempcher dÕavoir accs ˆ sa mŽmoire pour Žviter de voir sa vie altŽrer par son passŽ. Aprs avoir compris que lÕopŽration quÕon avait exercer sur lui, alors quÕil nÕŽtait quÕun trs jeune enfant, Žtait illŽgale et pouvait avoir des consŽquences graves, on a masquŽ la rŽalitŽ en racontant quÕil avait eu un accident dÕavion qui lÕavait rendu partiellement amnŽsique.

Ka•- Elle dijoncte, on peut savoir les tests que vous avez fait avec moi mÕdame?

Son ton insolent vint brisŽ le bel Žlan de la jeune femme et la rŽduit au silence quelques instanßts.

Doc- CÕest ˆ dire que nous avons passer un scanner ˆ votre cerveau ce qui nous a rŽvŽler la vŽritŽ a votre sujet.

Ka• Le diagnostic doc, cÕ est tout ce que je veux!

Doc- Par, pa pa pardon?

Ka• -A votre avis, je suis mort ou je suis prt pour ma journŽe et jÕai une pche dÕenfer?

Doc- Je nÕai jamais rencontrŽ un patient de votre age ayant atteint un tel dvellopement musculaire et ayant autant dÕŽnergie et...

Ka• Aller le diagnostic, jÕattends!

Doc- Je vous interdit de sortir dÔici mes Žtides sur vos troubles vitaux en sont pas finies!

Ka•- Ce sera tout, eh bien vous voyiez ,cÕŽtait pas si difficile, maintenant donner une seule raison de rester ici et je dŽcampe!

Tys- Excuser dÕinterrompre votre dŽbat mais on pourrais mÕexpliquer ce que tÕas eu?

Ka•- Problme alimentaire, carrence en minŽraux et certaines vitamines nŽcessaire a mon dŽvellopement, tout bon mŽdecin aurait du le comprendre, par consŽquent jÕai eu quelque problme ˆ restŽ en Žt at dÕŽveil, maintenant ísi vous vous voulez bien mÕexcuser.

La doctoresse lui barait la route vers la porte.

Doc- Vous devriez vouloir savoir pourquoi votre mre mÕa permiot de pratiquer des tests non- autorisŽs sur vous.

Volt- Non-autorisŽ?

Le vieillard sembla trs brusquement interrŽssŽ par la conversation.

Doc- Votre mre, et pour vous monsieur Hiwatari votre fille est hospitaliser pour un accident de la route.

Volt- Quoi pourquoi ne lÕavez vous pas dit plus tot?

Ka• Žtait dŽjˆ sortit et alla rejoindre ses trois frres au chevet de sa mre.

Ka•- QuÕest-ce qui lui est arriver?

Tana- Sa voiture a ŽtŽ renversŽ p‰r un camion, rien de gr‰ve en somme, elle sera sur pieds dans 2 petites heures.

Ka•- Si cÕest que a je mÕen vais...

Anas- Attends, Ka•, il y a un bal ce soir, tes frres mÕont dŽjˆ promi dÕy assister, tu iras toi aussi, nÕest-ce pas?

Ka• On verra!

Qu,est ce quÕon fait quand tout va mal qua vous ne savez plus quioi faire? Vous faites dur! Comme moi le dur. JÕen peut plus! ‚a cÕŽtait les pensŽões de Ka•, pauv pÕtit il est perdu.

Ka• nÕavait aucune envie de ce rendre ˆ ce bal organiser par son grand-pre, si a nÕavait ŽtŽ de lÕŽtat de sa mre. Il avait la ferme intension de sÕassurer quÕAnastasia ne se saoule pas, Yann, Tana, Spencer et lui allait sÕen occuper ˆ tour de r™le.

Bien sžr les quatres jeunes hommes avaient džs sÕhabiller selon les circonstances. Tous en noeuds papillon, veston, chemise et pantalon propre. Il est bien entendu que les marques bleu ne sont pas permises tout autant que les ailerons ou tout autre artifices du genre. Les boucles dÕoreilles solitaire sont donc le seul moyens dÕexpression qui leur restait. CÕest pourquoi tout quatre avait leur anneaux dorŽs lÕoreille, celui de Tana Žtait ornŽe dÕune pierre rouge‰tre, Yann et Spenser avaient chacun une obsidienne minuscule et Ka• avait le sien en forme de crochet de serpent.

Ils allrent donc au bal o ils rencontrrent tout ce que le tournoi avait rapportŽ de cŽlŽbritŽ. CÕŽtait eux les stars du soir, les rois dúu domaine comme ils eurent t™t fait de remarquer en voyant les regard idolatreurs que leur lanaient les jeunes filles prŽsentes avant de sÕŽvanouir. Laissant ses frres fol‰trer avec ses jeunes demoiselles tout en les reluquant un peu( il faut bien quÕun mec se paye du bon temps et se rŽgale de tout ses yeux de temps ˆ autre, cÕest pas une vie la pudeur)Ka” se dirigea vers sa mre qui sÕapprochait dangereusement du stande de boisson. Dans lÕŽtat o elle se trouvait, lÕalcool lui serait fatal.

Mais quelquÕuin eu t™t fait de dŽtourner son attention. Comme dans les contes de Cendrillon , Kia descendit les escaliers dÕun pas lŽger et gracieux.

Ses cheveux noirs( elle avait enlevŽ la teinture) coulait sur ses Žpaules nues et son dos Žgalement dŽcouvert. Sa robe au dŽcolletŽ gŽnŽreux dŽcrivait des courbes selon celles de la jeune fillle, dŽvoilant suffisament sa fŽmŽnitŽ pour enlever place ˆ lÕimagination. Ka• ne sÕattarda pas au dŽtail qui firent saliver les pervers, un filet de bave au bord des lvre. Ilý se prŽoccupa des cheveux noirs si beaux si soyeux!Ses yeux si bruns, presque noir, mais si pŽtillant de vie. Sa bouche a la courbe gracieuse, ses lvres quÕil ne demandait quÕa embrasser, sa peau qui luiu semblait si douce quÕil ne demandait quÕa caresser. Son regard dans lequel il ne demandait quÕa plonger. Son visage si bien dŽcoupŽ quÕil ne demandait quÕˆ admirer.

Il rŽussit avec peine a ne pas rester bouche bŽe suffisement longtemps pour que qui que ce soit se rende comtpe dans quel Žtat dÕesprit ele l,avait mi. Il alla vers sa mre histoire de l,empcher de prendre un coup.

Anastasia sÕapprochait des boissons alcoolisŽes au bras dÕun homme dÕune trantaine dÕannŽe. Ka• lÕattrapa au passage et lui tandis un verre dÕeau.

Anas- Tu ne vas pas me dire quoi faire quand mme!

Ka” JÕai passer lÕ ‰ge des leons de moral m Ôman!

La rŽaction attendu arriva fulgurante. La jeune femme disparu dnas la foule aprs avoir vidŽ son verre. Une chose Žtait sur elle ne viendrait plus lÕembter pendant un moment.

QþUand son regard retomba sur Kia, la jeune fille cÕŽtait dŽjˆ lancŽ dans une danse sÕappuyant avec dŽlectation sur le premier type venu, puis un autre et un autre et encore un. Les cavaliers se succŽdaient ˆ une vitesse effarante. Ces garons ne semblaient mme pas avoir honte de sÕtre jetŽ dans le sbras de cette chasseuse dÕhomme. Ka• observait avec horreur la joie que KIa dŽplyait a se jouer des jeunes hommes. Ils en Žtaient renud a parier qui la garderait le plus longtemps avec lui. La beautŽ dŽsarmante de la jeune fille les faisaient craquer les uns aprs les autres. Ka• fut heureux de voir que ses frres ne sÕabaissaient pas ˆ lÕinviter eux aussi. Mais a voir les regards quÕils lui lanaient ils se demandaient quand Ka• prendrait le contr™le de cette mascarade. Il Žtait clair que Kia exercait une vengeance sur leur frangin pour une faute quelconque et que Ka• Žtait le seul qui mŽrite vraiment KIa et qui lÕapprŽcie vraiment. Enfin cÕŽtait clair pour eux.

Pour Ka•, sa copine se marrait bien, se moquanÿt des typoes qui la faisait tournoyer et valser au milieu de la salle de danse. Elle nÕarrterais donc jamais de le dŽfier et fe le faire souffrir. Le collier quÕelle portait , avec un elfe dÕargent et de crystal semblait le narguer, tout comme le sourire taquin de Kia. Au 35e garon, Ka• en eut assez.

Jusque lˆ, il lÕavait supporter en crispant les poings et en serrant les dents discrtement. Il avait dŽjˆ les nerfs ˆ vifs, nÕavait-il pas vŽcu assez d,Žpreuves au cours des 2 derniers jours? NON! Il fallait encore quÕil lui pardonne. Maintenant il lisait clair dans son jeu. CÕŽtait elle qui lÕavait blessŽ( bien que cela le froisse un peu) et cÕŽtait lui le mŽchant parce quÕil nÕavait pas accepter ses excuses. Comme madame ce sentait mal, elle devait le rendre coupable et espŽrais quÕil lui pardonne(a aussi a le froissait un peu).

Il sÕasvana vers Kia et tout lws juenes hommes qui sÕapprtaient ˆ lÕinviter le laissrent passer. QuÕest-ce que vous faites qiamd le monde entier vous persŽcutes? Q ue tout vÀa mal, que tout le monde est aprs vous? Que vous ne savez plus quoi faire?
Que vous tes le souffre douleur de la plante entire? Que vous tes totalement dŽsemparŽ mais que vos problmes compromettes votre rŽputation? QUand vous avez une rŽpuitation de dur ˆ cuir, mais pas de dur au grand coeur , de dus ˆ cuire au coeur inexistant.

Prenant donc son courage a deux mains Ka• lui propossa une danse et ce sans dire un seul mot. Uniquement avec les yeux. Gardant le silence a son tour elle aquiesa timidement de la tte. Comme si elle Žtait timide!

Ka•- Pourquoi tu m,as fait a?

IL murmurait que personne ne pouvait lÕentendre, sauf elle...

Kia- CÕest que je nÕai plus lÕimpression dÕtre moi mme avec toi. JÕai lÕimpression d,tre le meilleur et le pire en mme temps.

Ka• sursauta.

ÒAcceptez-vous...
Pour le meilleur et pour le pire...
Oui, je le veux!Ó

Ses paroles avaient rŽsonner dans sa tte tnadis quÕil se rappelait ressentir le smmes s ymptomes que Kia.

Ka•- Et cÕest de ma faute?

Kia- Non, enfin, cÕest que... Je ne sais pas.

Ka•- ƒcoutes cÕest moi le garon et cÕest toi la fille. CÕest moi le dur et toi la tendre.

Elles se serra un peu plus contre lui. IL rŽalisa combien le momeny lui Žtait agrŽable. Une douce chaleur courait dans son corps, rŽsultat de la proximitŽ de Kia. Leur visage se touchait presque.

Kia- Allez le dur, viens, sortons.

Ils sÕŽclipsrent donc, sans bruit, avec une discrŽtion digne du plus grand des James Bond. Enfin le James Bond qui Žtait discret. Une fois rendu dans le jardin attenant ˆ la salle de bal, elle lÕentraina dans le labyrinthe de verdure que Voltaire avait fait tailler pour lÕoccasion...

Ka•- QuÕest-ce que tu fais?

Kia- Je met ˆ lÕoeuvre se que jÕai appris.

Ka•- Gr‰ce ˆ qui? Pour quoi faire?

Kia- Ta mre Anastasia. Tu vas trouver sa drole mais a un certain moment donnŽ elle a arrter de nous entraineru au beyblade, elle voulait que nous charmions le gars avec lequel nous Žtions jumelŽe. JÕai eu vite fait de voir que tout ce quÕelle voulait cÕŽtait que nous fournissions des enfants, des dizaines dÕenfants. Ils veulent dÕautres gamins pour leur trucs tordus, une autre gŽnŽration qui aurait vŽcu notre enfer. Si parfois jÕai fait des anneries cÕest parce quÕils nous ont donnŽ une drogue pour nous contr™ler de manire a ce quÕon fasse toujours ce quÕil veulent bien que nous fassions. Je suis dŽsoler, jÕŽtais, je ne voulais pas...

Ka• dŽtourna les yeux quand elle se mit a pleurer, il tenta de ne pas lÕentendre, mais quelque chose en lui Žtait triste, donc elle ne lÕavait jamais aimer elle le dŽtestais peut-tre, si elle avait fait tout a cÕŽtait sous influence. Il tenta dÕaccrocher son regard ailleurs mais il ne pouvait que toujours revenir sur Kia. Elle nÕavait pas voulu le charmer donc, mais elle y avait rŽussi. Il lÕaimait mais pas seulement pour son charisme, il lÕavait toujours aimŽ bien quÕil ne lÕai jamais accepter.

Ka•- ƒcoute jÕaimerais que les choses soient claires entre nous, mme si... alors dÕaccord, tu as voulu me mettre sur les nerfs et tu as rŽussi, dÕaccord tu ne me laisses pas indiffŽrent( elle leva les yeux vers lui, ses yeux pŽtillants dÕune joie a peine contenue, malgrŽ les larmes qui coulaient toujours sur ses joues) vraiment pas indiffŽrent.

Ka• perdait les pŽdales il ne se controlait plus il nÕarrivait pas a sÕempcher de dire de telles paroles, on aurait dit que sa bouche ne lui appartennait plus.

Ka•- Je ne suis pas certains dÕavoir ressenti a pour personne dÕautre et je ne crois pas tre capable de le ressentir pour qui que ce soit dÕautre aprs toi. Je veux juste que tu saches quÕil nÕa jamais ŽtŽ question pour moi dÕavoir des enfants avec toi, ni avec ui ce soit dÕautre...( son regard devint triste, celui de Kia pas de Ka•)...enfin dans lÕimmŽdiat. Je te pardonne pour tout ce que tu mÕas fait, dÕaccord, mais ce ˆ la condition que tu arrte de pleurer... et de mÕembrasser ou de me sauter dessus en public.

Elle essuya ses larmes dÕun revers de le main et se jeta sur lui.

Kia- ‚a veut dire que maintenant je peut?

Mais avant quÕil est pu lui rŽpondre elle lÕembrassait et mme quand elle sÕarrta en se mordillant la lvre il ne la laissa pas filer, il la ramena pour lÕembrasser ˆ son tour.
Et alors pour la premire de fois de sa vie, Ka• sourit deV ce sourire dÕenfant quÕil nÕavait jamais eu, de ce sourire franc quÕon ne lui connaissait pas mais donc il aprennait dŽjˆ ˆ user des charmes dŽvastateurs, le plus beau sourire de tous!

CÕest la conclusion comme je lÕai dŽjˆ dit ce matin, oh jÕavais prŽvu plein de chose encore pour une suite mais je ne suis aops nŽe avec un ordinateur dans les mains et le temps pour Žcrire qui mÕŽtait imparti touche a sa fin, cÕest pourquoi cettte histoire fait pareil, jÕespre que vous lÕaurez aimer. Alors a dÕautres jÕai adorer Žcrire cette fic !
A chao les amis(es)( ) (e)!!!! Or friend, I donÕt matter!ZÿÿNò DSET‚ÿÿ.H ÿÿÿÿÿÿɶD ò¦† % òÿÿ6ÿÿ* † DSETØÿ& yuml;.Hÿÿÿÿÿÿÿÿ ɶ@ ¦òÿÿ¦ LòÿÿLò òÿÿò
˜òÿÿ
˜
>òÿÿ
>äòÿÿ& auml;ŠòÿÿŠ 0òÿÿ0Ö&og rave;ÿÿÖ|ò  ÿÿ|"ò 
ÿÿ"Èò ÿÿÈ"nò ÿÿ"n%ò
ÿÿ6ÿÿ*†& nbsp;DSUM.Collge Saint-MauriceHDNISTYL
ÎôÿÿDSTYLɶ0&Eacut e;¶ɶ,ɶ$ɶɶ ;ɶ ɶ ÿÿÿ ;ÿN
ÿÿÿÿÿÿÿÿ ÿÿÿÿÿÿÿ ;ÿ
ÿÿÿÿF
ÿÿÿÿ
ÿÿÿÿ
ÿÿÿÿÿÿÿ&yum l;  ÿÿÿÿÿÿ 8
ÿÿÿÿÿÿ
ÿÿÿÿÿÿ ÿ&y uml;ÿÿÿÿ
ÿÿ
ÿÿÿÿ
ÿÿ ÿÿÿÿ ÿ&y uml; ÿÿdÿÿHASHÀûD&Og rave;Á( Á ( õá/1( ( (
P¢Gû½A(
A (
gºfu¶or{Õâ’Þ

CHARɶ(ÿÿÿÿ  ÿÿ ÿÿÿú ÿÿ ;ÿëÿÿ"ÿß  ÿÿÿû
ÿÿ€ÿÿÿÿ
ÿÿÿÿÿÿÿþ ÿ&yum l;ÿú
@ÿÿHASH„   Rÿÿ
CELLɶ Œÿÿÿÿÿ
ÿÿÿ"ÿÿ HASHÿ jÿÿ
GRPHɶÿÿÿÿ ÿÿ
ÿÿÿ&quo t;ÿÿHASHvÿÿl
RULRɶÿÿÿ ÿÿÿ ÿÿý @ ÿÿ ÿ&yu ml;ÿÀ ÿÿÿ @ ÿÿÿÀ & yuml;ÿÿ@ @ÿÿHA SHÀÿÀÿÿÿ@ÿ @ý@ÿ.ÿÿLKUP 

 ÿÿ$NAMEDŽfaut DŽf aut TABLEn-tteCorps  Pied de pageNote de renvoiN¡ de note de renvoi DFNTM Helvetica Geneva ÿÿGeneva PalatinoMC ROMCROoBlNoBlNBBARBBARÿÿMARKMRKS ÿÿ MOBJWMBTETBLXDSUM—âHDNI˜STYL ˜"MCRO¢øoBlN£BBAR£MARK£(WMBT £NETBL£Zÿþýüûúù& oslash;ðñòóôõö÷ TTf ÿCÕeat la conclusion de cette fic que jÕadore et que jÕaurais voulu faire plus longue. J ene parlerais pas plus , ˆ vous la suite...

Heureusement il ne croisa plus personne dÕautre e tpu se laisser tomber dans son lit, Ò Dans le centre de recherche une maCollge Saint-Maurice"¼{+£TEXTè¼{+£A uthTEXTê[
AppleWorks 5TTfSORTÊ€fSTR TEXT&pnot>¿ôÿÿCɵ& not;èÿÿɵ|êÿÿ ÿÿɵ