Sailor Moon Fan Fiction / Crossover Fan Fiction ❯ Le Chevalier à la Naïade ❯ Héros magré lui ( Chapter 4 )

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Chapitre 4 :  Héros malgré lui
(ou   Mais qu’allait-il faire dans cette galère ? )

        Le mot de l'auteur :
Kirin et Lied : Ya-Haaaaaaaaaaaaa !!!  (lancent des confetti partout)
Larhalt :  … C’était trop beau pour durer ...
Kojiro : Franchement qu’est-ce que tu espérais ?
Larhalt : Qu’elles avaient été touchées par la Grâce ?
2K : bwahahahahaha !! Elle est bien bonne celle-là !
Kirin : Mais enfin, Larhalou, t’es pas content de nous voir après des mois de séparation ?
Larhalt : Nan . Et m’appelle pas Larhalou .
Kirin (faisant la sourde oreille) : Alors je dédie ce chapitre à Florence et à Saiyenne pour leur extraordinaire fidélité !  ^^     Merci les filles ! Demandez et vous serez exaucées … Moui enfin pas tout le temps quand même …


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Ryo se passa un peu d’eau fraîche sur le visage .
Avait-il bien fait ? Il n’avait pas pu mentir à Ami . Mais il n’avait pas pu se résoudre à lui dire toute la vérité . Lui-même avait encore du mal à l’accepter .
Sur son bureau, trônait un cadre où une photo de la jeune fille se trouvait . Son regard s’attrista un instant au souvenir de l’Ami de sa vision .
Non, il avait pris la bonne décision . Le reste était entre les mains de la jeune fille . Sacrées mains d’ailleurs, songea-t-il en observant la trace que celles-ci avaient laissée sur sa joue . Ami devait être sacrément à cran pour réagir comme ça . Ou alors Makoto et Rei commençaient à lui déteindre dessus .

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L’atmosphère était chaude, presque lourde et dans le temps de midi, tout un chacun qui mangeait dehors cherchait la moindre parcelle ombragée pour s’y mettre à l’abri du soleil .
Assise sur son coin de pelouse, à l’ombre de quelques arbres, Ami boxa son cartable, affreusement vexée .
Ryo aurait pu lui dire d’entrée que le secret de Larhalt ne représentait pas de danger au lieu de la laisser se ronger les sangs et de s’imaginer des choses horribles à son sujet  - qu’il fomentait la conquête du monde par exemple .
- Ami ? Quelque chose ne va pas ?
Elle sursauta et se tourna vers ses camarades, un sourire un peu forcé aux lèvres .
- Non, je … Tout va bien Usagi . C’est juste … J’ai du mal à dormir ces derniers temps .
- C’est parce que tu travailles trop . Tu sais, passer son temps dans les livres c’est pas bon .
- Et je suis sûre que ton fichu café y est aussi pour quelque chose . Une vraie cochonnerie ! Demain, je t’amène des mélanges de tisane, ça sera bien mieux .    ajouta Makoto toujours très mère-poule
Ami se relaxa et prit une boulette de poulet dans le grand bento préparé par cette dernière .
Elle sourit d’une pitrerie d’Usagi, protesta devant les plans de drague un tantinet surréalistes de Minako et savoura le repas  - excellent comme toujours -  de Makoto .
Elle approuva une réunion des Senshi pour le lendemain et sortit un livre pour s’occuper le reste de leur pause-déjeuner . Ce qui ne l’empêchait nullement de suivre la conversation de ses amies et de lâcher ici et là quelques commentaires opportuns .

Elle avait résolu de ne pas penser au youma pour le restant des cours . Et elle n’y pensa pas . Jusqu’à ce que retentisse la sonnerie qui marquait la fin de la journée .

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Rouge de gêne, Sailor Mercury gardait les yeux fixés au sol, certaine qu’avec un peu d’effort elle finirait bien par trouver un interstice entre les tatamis où elle pourrait se glisser le temps que ses amies arrêtent de la charrier . Oh, ici … Cela semblait parfait pour se morfondre pendant cinq ou six mois … ou sept ou huit . Ou un peu plus .
- Non, je ne plaisante pas, Rei !  Tu l’aurais vu !!
Usagi ponctuait son récit à grand renfort de gesticulations, le tout appuyé par les soupirs énamourés de Minako et Makoto .
- Et il n’avait d’yeux que pour Ami !!
- Usagi ! Je t’ai déjà dit que c’était juste un correspondant étranger et …
- Alors ça veut dire qu’il est libre ?   s’enquit Minako en se pourléchant les babines à la manière d’Artemis devant un plat de sashimi
- Non ! Enfin, je veux dire … Je ne pense pas que ça soit une très bonne idée …   balbutia-t-elle, horrifiée à l’idée que Minako extorquât un rendez-vous au youma .
Larhalt truciderait son amie dans l’heure … ou se suiciderait de désespoir face au babillage de Venus .
Elle s’interrompit devant les sourires de connivence de ses quatre amies . Juste un correspondant, hein ? Oui, oui, cause toujours tu m’intéresses .
Elle laissa échapper un grondement d’énervement . Vraiment mais quelle idée avait eu sa mère ?
Elle revoyait la scène comme si c’était hier … C’était hier de toute façon .

* * *

A la sortie des cours, un attroupement s’était formé devant l’entrée, attirant l’attention des senshi du collège-lycée Juuban .
- Oh la vache ! On dirait mon sempai !!!
A l’exclamation, maintenant plutôt rengaine, de Jupiter, les filles avaient levé les yeux au ciel avant de regarder quel était donc le mâle qui avait attiré son regard cette fois-ci .
Ami crut qu’elle allait faire un arrêt cardiaque . Avant de se mettre à hyper-ventiler . Sa mère n’aurait pas fait ça, hein ? Elle n’aurait jamais osé ?!?

Mal à l’aise au milieu de tous ces inconnus qui le dévisageaient comme le faucon regarde sa proie avant de lui fondre dessus  - enfin les filles surtout - , le visage de Larhalt s’éclaira en voyant la jeune fille paraître  - enfin ! -  aux grilles de l’établissement scolaire .
Il fit quelques pas vers elle avant de piler net, freiné par l’aura meurtrière qu’elle dégageait .

Un coup de coude aux côtes fit redescendre Mercury sur terre .
- Amiiiiii !!!! Il vient vers nous !!     se mit à couiner Minako en passant rapidement la main dans ses cheveux, histoire de se présenter à son avantage tandis que la brunette faisait de même .
Lorsque l’inconnu fit halte à quelques pas d’elles, Ami pouvait sans peine se représenter ses trois compagnes la bave aux lèvres et d’immenses cœurs à la place des yeux .
Mais le jeune homme ne leur prêta aucune attention, concentrant son regard sur elle .
Elle soupira en le voyant soudain si mal à l’aise et incertain .
Aussi décida-t-elle de prendre les devants .
- Larhalt, qu’est-ce que tu fais là ?     demanda-t-elle en prenant soin de bien articuler
- Dame Mi-zuno m’a dit venir de te chercher à la sortie de la école .
- "de venir te chercher à la sortie de l’école"    corrigea machinalement cette dernière avant de sursauter lorsque ses camarades alentours décidèrent de manifester leur surprise à haute voix .
Ami, la timide Ami, la souris de bibliothèque, connaissait un beau gosse pareil ?!?
Puis les autres senshi retrouvèrent leur voix et se mirent de la partie .
- Wooooo … Qui c’est le petit mignon ? Ami, tu nous avais caché des choses !!
Si la jeune fille n’était pas aussi bienséante, elle aurait poussé une bordée de juron, là maintenant tout de suite . C’était bien sa veine . Avec un sourire tendu, elle se tourna vers ses amies .


* * *

Et maintenant ces dernières en faisaient des gorges chaudes et insistaient pour rencontrer son "correspondant", histoire de faire connaissance .
D’une voix lasse, elle tenta à nouveau de leur faire entendre raison .
- Les filles, quoi que vous pensiez, ce n’est pas ce que vous croyez …   
- hmm mmm …   
C’est fou ce qu’elle avait l’impression de les avoir convaincues .

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Le reste de la semaine s’était écoulé . Lentement, trop lentement à son goût .
Elle avait plus ou moins réussi à se déjouer des interrogatoires de ses amies concernant son invité en leur racontant qu’il s’agissait d’un correspondant allemand venu lui rendre visite . Et qu’elle lui donnait quelques cours de langue car son Japonais laissait beaucoup à désirer .
Cela les avait satisfaites . Du moins l’avait-elle cru jusqu’à aujourd’hui .
De son coin de table, au Crown Café, elle regardait d’un œil noir Larhalt, coincé sur la banquette entre Rei et Minako, Usagi et Makoto en face, discuter joyeusement avec ses amies . Les rosses . Elle ne savait pas comment elles s’y étaient prises pour l’amener ici mais ça allait se payer . Et pourvu qu’il ne grille pas sa couverture ! Elle se refusait à imaginer la réaction de ses camarades de lutte . Ou plutôt, elle ne l’imaginait que trop bien . Et ça impliquait du sang, des tripes et Mars en mode berserk en arrière-plan . Et une migraine carabinée .
Et qu’est-ce qu’il avait à sourire comme ça bon sang ?!?


Larhalt plaqua un sourire de circonstance sur ses lèvres et tournait la tête à droite et à gauche, tentant de suivre le fil de la conversation . Mais dieux, que c’était dur ! Ces filles parlaient, parlaient, parlaient …
- … n’est-ce pas Raaruto-kun ?   demanda alors la blonde sur sa droite, massacrant son nom au passage
A la limite du désespoir il se tourna vers sa seule alliée . Et faillit céder à la panique qui l’habitait en la voyant l’ignorer . Mais n’étant pas un guerrier-dragon pour rien, il fit bravement face .
- Ah … Je demande pardon … J’ai pas bien compris la question …
- Je disais que c’était très gentil à Ami de t’aider dans tes études .
- Oui, je … Ami est très gentille . Je trouve votre langue est très dure .
- Et je suppose qu’ici ça doit être très différent de chez toi non ?    demanda alors Makoto
Elle n’a pas idée à quel point .   songea-t-il presque amusé
- hmm … Très différent oui .
- Et tu n’as pas le mal du pays ?
- Le quoi ?
- Tu n’as pas envie de rentrer chez toi ? Je suppose que tu dois avoir une fiancée qui t’attend .
- J’ai envie de rentrer mais ici est très … ah comment vous dites ? Très intéressant ? Et je n’ai pas de … fiancée .
Larhalt eut soudain la désagréable impression d’avoir commis un énorme faux pas et déglutit . Les deux jeunes filles dégageaient soudain une aura bizarre . Et même sans tout comprendre à ce qu’elles baragouinaient, la lueur prédatrice qui brillait dans leurs yeux et la façon qu’elles avaient de le regarder à la manière dont un chien affamé observerait une entrecôte 1er choix le faisaient se sentir plutôt mal à l’aise .

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Ami soupira et tenta à nouveau de s’intéresser à son cours de chimie . En vain . Ce n’était pas vraiment comme si elle était en retard dans ses études .
De toute façon, elle aurait pu avoir un Prix Nobel en face d’elle ou même Einstein, qu’elle n’aurait sans doute pas plus réagi que ça . Non, elle avait d’autres sujets de préoccupation . Comme son hôte pas tout à fait humain qui squattait chez elle depuis bientôt six mois .
D’ailleurs ces derniers temps, elle n’arrêtait pas de penser à lui .
Elle avait écouté Usagi parler d’âmes-sœurs et de destin, des étoiles plein les yeux .
Elle avait prêté une oreille amusée aux grands plans de séduction qu’échafaudaient Rei, Makoto et Minako tout en énumérant ce que recherchait un homme chez une femme, avant de lui lancer d’un air entendu qu’elle verrait bien, le jour où elle aurait le coup de foudre .
Si être amoureuse voulait dire perdre ses moyens, rougir et glousser à tout bout de champ et idolâtrer son mâle, que les dieux l’en préservent !
Bien sûr, elle ne voulait pas finir vieille fille mais elle avait ses standards … Qui n’étaient pas forcément ceux de ses amies .
Dans tous les livres qu’elle avait lu, dans tous les films qu’elle avait vu, il y avait toujours de grandes déclarations enflammées, des moments de passion éperdue, l’amour au premier regard ou un instant de tension extrême qui menait à la prise de conscience que l’amour avec un grand A se tenait devant vous .
Elle s’était attendu à bien des choses, s’était armée contre toute éventualité …
Au final, il n’y eut pas de grande révélation . Point de grand chambardement, ni d’envolées lyriques . Foin de tout cela .
Elle était simplement sortie tard, un jour, d’un de ses cours du soir pour voir Larhalt qui l’attendait devant le bâtiment, un parapluie à la main . Et, sur le trajet du retour, tandis qu’elle l’observait du coin de l’œil, elle avait réalisé que lentement, si lentement qu’elle n’avait rien vu venir, elle avait fini par tomber amoureuse de l’étrange youma .
Ce n’était pas l’une de ces grandes histoires d’amour dont elle avait tant entendu parler, ce n’était pas une romance de conte de fées . Si cela avait été le cas, nul doute qu’elle en aurait ri à pleurer tant l’idée lui aurait paru saugrenue . Mais cela … C’était si … si simplement banal . C’était tellement elle qu’elle ne pouvait le nier .
De toute façon, le coup de foudre était quelque chose de très surfait .    songea-t-elle en levant les yeux de ses polycopiés pour observer l’objet de ses affections .

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Mme Mizuno retint un pouffement . Ce qui lui attira un regard malheureux de son hôte et une exclamation exaspérée de sa fille .
- Maman, ce n’est pas drôle !
La doctoresse se mordit les lèvres dans un effort ultime avant de succomber à la tentation et d’exploser de rire .
En rentrant de l’hôpital, elle ne s’était certes pas attendue à trouver, en poussant la porte, Ami à genoux, des aiguilles plein la bouche en train de marquer des ourlets et de faire des retouches sur le costume que portait Larhalt . Ce dernier avait d’ailleurs l’air fort marri et rien qu’en voyant sa tenue, on comprenait aisément pourquoi .
- Vous préparez une soirée costumée pour le nouvel an  ?
Les joues du youma s’enflammèrent passant de jade à une belle couleur émeraude tandis que la jeune guerrière de Mercure se redressait l’air indigné .
- Maman, c’est pas la peine d’en rajouter !!
Aya Mizuno haussa un sourcil interrogateur, il était rare qu’Ami soit aussi agressive .
Larhalt eut un sourire un peu gêné .
- C’est mon … ah … tenue de bataille ?
La quadragénaire détailla le pantalon noir bouffant, les bottes vernies, le chemisier gris perle à jabot, le petit gilet sans manches à liseré et les mains gantées de blanc qui serraient nerveusement un loup sombre puis ses yeux glissèrent sur le l’étrange chapeau posé sur le canapé . Et un nouveau gloussement lui échappa .
- Maman !
- Je suis désolée ma chérie mais je crois qu’il va falloir que tu m’expliques .     déclara le médecin entre deux hoquets

* * *

Le menton au creux de sa paume, Ami observait d’un air morose ses amies flirter  - ou du moins essayer -  avec Larhalt . Elle avait cru qu’au bout de quelques rencontres et de rebuffades subtiles, Makoto et Minako auraient fini par se lasser du jeune homme  - Rei avait laissé tomber à la deuxième réunion . Las, c’était grandement sous-estimer lesdeux autres senshi dont le passe-temps favori était, selon l’expression préférée d’une de ses cousines, d'aller courir le gueux et pour qui la subtilité était une technique de vol à l'étalage .
Soudain une série de bip stridents se fit entendre . Après un bref moment de stupeur les sailor senshi se reprirent .

Larhalt regarda d’un air mi-sceptique mi-soulagé, les jeunes filles sortir vivement du café, le visage soucieux, sans même prendre le temps de passer leurs manteaux, talonnées par Mamoru . Puis il fronça légèrement les sourcils avant de se lever à son tour . Il jeta un regard hésitant vers la table et les consommations encore non réglées . Le serveur, Motoki si ses souvenirs étaient exacts, lui adressa un signe de la main encourageant .
- Ne t’inquiète pas, ça leur arrive souvent de partir en coup de vent . Vas-y si tu veux, je retiendrai la table, le temps que vous reveniez .
Avec un sourire de gratitude, le métis n’en attendit pas plus et se rua aux trousses des lycéennes .


Sailor Mercury grimaça tandis qu’une lame vint la frôler . Une youma . Et pas du menu fretin vu tout le mal que celle-ci donnait aux jeunes filles avec ses clones de métal .
Elles n’arrivaient même pas à gagner le temps nécessaire à leur princesse de conjurer son attaque lunaire purificatrice .
A ce rythme, ce serait les Sailor senshi qui mordraient la poussière, elle la première . Bien que sportive, Ami n’avait pas l’endurance ni la résistance physique de ses compagnes et se savait la plus vulnérable de leur petit groupe .
Elle poussa soudain un cri d’alarme en avisant la youma en train de prendre Usagi à revers . Sans perdre un instant, elle se jeta sur la créature, la déstabilisant juste assez pour que sa princesse se mette hors de portée . Jetée à terre par la youma furieuse, Ami la vit lever sa main-épée et ferma les yeux .
Elle les rouvrit lentement quand un cri de stupeur étouffé se fit entendre . La lame n’était qu’à quelques centimètres de son torse, une main ferme serrée sur le poignet de leur ennemie l’avait ainsi arrêtée .
Etonnement impassible, Larhalt resserra sa prise jusqu’à ce qu’un craquement sinistre et un glapissement de douleur indiquent qu’il venait de briser le poignet captif . Puis sans se départir de son calme, il frappa . Deux fois, visant le plexus et la gorge . Et la youma s’effondra . Aussitôt Sailor Moon se reprit et réduisit cette dernière en poussière .

- Ami ! Ca va ? C’était une youkai ? Mais tu avais dit … et damoiselle Usagi …
Ami cligna doucement des yeux . Sans même s’en apercevoir, Larhalt avait repris son dialecte d’origine tant son inquiétude était grande .
- Larhalt-kun, je ne comprends rien …
Le jeune homme s’arrêta net et rougit de sa gaffe .
- Je … je … Tu vas bien ? C’était une youkai ? Et damoiselle Usagi a utilisé la magie …
A ces mots, les autres senshi se figèrent .

* * *

Le reste Ami préférait ne pas trop y penser .



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Le mot de la fin :

Kirin : ………
Lied : Kirin ?
Kirin : ………….
Lied : Kiriiiiiiiin !
Kirin : …   Lied …
Lied : Oui ?
Kirin : Je sais pas quoi diiiiire !!
Larhalt : Ben dis rien, ça nous fera des vacances .
Ami : Larhalt !
Larhalt : ben quoi, c'est la vérité non ?